Economies

Il est trop tôt de dire que le Burundi est un pays développé

En date du 10 Août 2022 PARCEM s’est exprimé et donné son avis par rapport aux propos du Ministre des finances sur le rapport du FMI le message de PRACEM était :

Si le FMI évoque 3% de croissance c’est le même FMI qui classe le Burundi pays le plus pauvre du monde de part son PIB/hab inférieur à 300USD pour inverser la tendance, le Burundi à besoin d’un taux de croissance à deux chiffres pendant une dizaine d’années. Déjà Le taux de croissance de la population est à 3%

En effet, le niveau de pauvreté du Burundi se remarque au niveau de la qualité des infrastructures, la malnutrition, le chômage, le sous-emploi. Le récent rapport de l’ISTEEBU a montré qu’environ 40% des Burundais peuvent passer une journée sans manger.

PARCEM invite plutôt les autorités à attaquer le taureau par les cornes car le sous-développement et la pauvreté ne constituent pas une fatalité.

L' ADB doit être independant

En date du 25 juillet 2022 PARCEM s’est exprimé après la nomination du conseil d’administration de l’ADB (Agence de développement du Burundi) le message de PARCEM était centré sur ce que devrait être la mission de l’ADB et les conditions de fonctionnement de l’ADB pour son efficacité.

PARCEM se réjouit de la nomination du conseil d’administration de l’ADB mais l’essentiel est que l’ADB joue le rôle de leadership éclairé dans le pilotage du développement économique avec indépendance et efficacité.

Le fonctionnement de l’ADB doit être épargné des considérations et spéculations politiciennes, elle doit être un centre de réflexion scientifique, un véritable think thank qui canalyse l’expertise nationale et étrangère nécessaire pour le développement économique de notre pays.

L’une des actions phares de l’ADB serait de sortir les recommandations du grand forum sur le développement du Burundi tenue en Novembre 2021 pour servir de vision et de trajectoire de développement économique.

CAMPAGNE UKURI KUBIDUHANZE : Situation de la Malaria au Burundi inquiète

En cette période où les données sur la malaria deviennent de plus en plus inquiétantes, PARCEM vient d’animer une conférence de presse par rapport à cette situation au cours de laquelle elle demande ce qui suit :